Depuis plusieurs années, un agenda semble s’être installé au sein des sociétés occidentales, visant à redéfinir les normes morales et éthiques qui structurent nos sociétés.

Cet agenda, souvent imposé de manière autoritaire, renverse les valeurs essentielles qui ont historiquement guidé l’éducation des enfants, le respect des religions et la cohésion sociale. Ce bouleversement se fait au détriment des principes qui, jusqu’à récemment, formaient le socle de nos civilisations.

L’Éducation : Un Terrain de Bataille Idéologique

L’un des champs de bataille de ce nouvel ordre moral est l’éducation. Les écoles, autrefois sanctuaires de la transmission des savoirs et des valeurs partagées, sont devenues les arènes d’une guerre culturelle. L’accent est désormais mis sur l’endoctrinement des enfants avec des concepts qui renversent les valeurs traditionnelles.
Les mouvements dits “progressistes”, souvent affiliés à l’idéologie wokiste, prônent une éducation qui met de côté l’objectivité au profit d’une vision du monde imprégnée de relativisme moral. Cette approche favorise la déconstruction des notions de famille, de genre et de mérite, en les remplaçant par des doctrines qui érigent en dogme l’identité individuelle et les revendications minoritaires.

La Religion : Une Cible de Mépris

Parallèlement, les religions, qui ont longtemps servi de boussoles morales pour des millions de personnes, sont désormais ouvertement méprisées dans ce nouvel ordre. Le discours dominant tend à présenter les croyances religieuses comme des reliques d’un
passé révolu, incompatibles avec la modernité. Les symboles religieux sont retirés des espaces publics, et les opinions basées sur des convictions religieuses sont souvent ridiculisées ou discréditées. Cette marginalisation des religions sert à affaiblir les fondements éthiques traditionnels, ouvrant la voie à une redéfinition de la morale publique dictée par des élites technocratiques et culturelles.

La Marginalisation de la Majorité : Une Stratégie de Répression

Les individus et les groupes qui osent s’opposer à cette transformation sont rapidement marginalisés. Les étiquettes péjoratives sont utilisées pour discréditer ceux qui remettent
en question l’agenda progressiste. Ceux qui refusent de souscrire à l’idéologie wokiste se voient souvent taxés d’antivax, d’antisémites, d’homophobes, voire d’extrémistes de droite. Cette catégorisation simpliste et réductrice sert à museler les voix dissidentes et à empêcher tout débat public sur les questions fondamentales qui concernent notre avenir commun.

Cette stratégie de marginalisation n’est pas sans rappeler les méthodes utilisées par les régimes autoritaires pour réprimer l’opposition. Elle s’appuie sur une culture de la honte et de la peur, où le conformisme est encouragé, et où toute déviance par rapport à la norme imposée est sévèrement sanctionnée. Les médias, les grandes entreprises technologiques, et même certains gouvernements, jouent un rôle central dans la propagation de ce nouvel ordre moral, en censurant les opinions contraires et en promouvant une vision unilatérale des valeurs sociétales.

Conclusion

L’agenda qui se déploie en Occident sous couvert de progrès et de modernité n’est rien de moins qu’une tentative de restructurer profondément nos sociétés. En inversant les valeurs essentielles, en méprisant les religions et en marginalisant ceux qui s’y opposent, ce nouvel ordre moral impose une idéologie autoritaire qui risque de détruire les fondations mêmes de nos civilisations. Il est crucial que les citoyens prennent conscience de ces dynamiques et défendent les principes qui garantissent la liberté de pensée, le respect des traditions et la diversité des opinions, sans laquelle aucune société véritablement libre ne peut subsister.

Nicolas. G